L’avenir de la technologie et de l’innovation des avions de chasse

Les avions de combat modernes sont des appareils militaires extrêmement avancés qui ont révolutionné le combat aérien. Leurs capacités ont grandement influencé la politique et la stabilité nationales, Vol L-39 car les pays du monde entier cherchent à créer et à déployer ces avions pour maintenir leur supériorité militaire. Dans ce document, nous étudierons l’impact des avions de combat modernes sur la politique et la stabilité nationales, y compris leur rôle dans la dissuasion, la projection de force, ainsi que la nature changeante du combat.

La dissuasion peut être une idée stratégique dans les services militaires et les relations avec l’étranger qui vise à prévenir les activités hostiles en montrant une forte capacité militaire. Elle repose sur l’idée qu’un adversaire sera dissuadé d’entreprendre des actions agressives s’il estime que le coût de ces actions sera trop élevé. Les avions de chasse mma modernes jouent un rôle crucial dans la dissuasion en raison de leurs capacités avancées qui leur permettent de projeter une forte capacité militaire.

La technologie furtive, par exemple, permet aux avions de chasse contemporains d’éviter d’être détectés par les radars de l’adversaire et de lancer ainsi des attaques délicieuses sur les centres d’intérêt de l’ennemi. Grâce à ce potentiel, il est difficile pour un adversaire de se défendre contre des assauts potentiels, ce qui augmente la probabilité de dissuasion. De la même manière, les capacités d’attaque à longue portée permettent aux avions de combat modernes de s’attaquer à des objectifs situés profondément dans le territoire de l’ennemi, de sorte qu’il est difficile pour ce dernier de se prémunir contre d’éventuelles attaques.

En plus de ces fonctionnalités, les avions de combat modernes sont également équipés de capacités innovantes de lutte air-air, ce qui en fait de redoutables concurrents dans les combats air-oxygène. De ce fait, même si un adversaire dispose de ses propres avions de combat, il peut être dissuadé d’engager un combat aérien en raison de la puissance perçue des avions de combat de l’adversaire.

Dans l’ensemble, la possession d’avions de combat récents est considérée comme un signe de puissance militaire et peut donc dissuader les adversaires potentiels d’entreprendre des actions hostiles. Les caractéristiques avancées des avions de chasse modernes, notamment la furtivité, les frappes à très longue portée et les combats aériens, ont un effet dissuasif important. C’est pourquoi les pays investissent intensément dans la construction et le déploiement de ces avions afin de démontrer leur potentiel militaire et de dissuader leurs adversaires potentiels.

Les avions de combat mma modernes jouent également un rôle crucial dans la projection du potentiel, c’est-à-dire la capacité d’un pays à projeter son énergie militaire au-delà de ses frontières. Les capacités avancées des avions de combat mma modernes, telles que les frappes à longue distance et les armes de précision « oxygène au sol », permettent aux pays du monde entier de frapper des cibles à l’intérieur du territoire ennemi. Cela constitue un avantage considérable dans les opérations militaires, car cela permet aux pays de se concentrer sur des actifs stratégiques clés et d’affaiblir les capacités des services militaires de l’ennemi.

L’impact des avions de combat modernes sur la politique et la sécurité internationales se manifeste également dans le changement de la nature mère de la guerre. Les avions de combat modernes ont considérablement augmenté la vitesse, la portée et la précision des opérations de l’armée, ce qui les rend plus meurtrières et plus fructueuses. En conséquence, les nations s’appuient de plus en plus sur la puissance aérienne pour atteindre les objectifs de leurs forces armées. Cela a entraîné un changement dans l’équilibre du potentiel, car les pays qui possèdent des avions de chasse mma avancés sont mieux à même de projeter leur énergie et leurs effets militaires.

On ne saurait trop insister sur l’effet des avions de combat mma modernes sur la politique et la protection des nations à l’échelle mondiale. Ils jouent un rôle crucial dans la dissuasion, la projection de force et l’évolution de la nature de la guerre. Les pays qui possèdent des avions de combat innovants sont considérés comme ayant une forte capacité militaire, ce qui peut empêcher des adversaires potentiels de prendre des mesures hostiles. Les avions de combat modernes offrent également un avantage significatif dans les opérations des services militaires, puisqu’ils permettent aux pays d’attaquer des cibles à l’intérieur du territoire de l’ennemi. Par conséquent, le développement et le déploiement d’avions de combat contemporains continueront d’être un élément clé de la politique et de la sécurité nationales dans les années à venir.

Le réchauffement

Les six dernières années ont été les six plus chaudes au monde jamais enregistrées par les humains.
2014 avait été l’année la plus chaude jusqu’à ce moment-là, jusqu’à ce que le record soit brisé en 2015, et encore en 2016 grâce à un événement monstre El Niño. El Niños amène l’eau chaude à la surface de l’océan où elle réchauffe la température de l’air de surface qui influence et intéresse le plus directement l’humanité. Vint ensuite 2017, la deuxième année la plus chaude enregistrée par les humains, mais de loin la plus chaude qui n’a pas été influencée par un événement El Niño. Et puis 2018, la quatrième année la plus chaude au monde, mais de loin l’année la plus chaude jamais enregistrée qui a été refroidie par un événement de La Niña.
Et maintenant 2019, réchauffé par un événement modéré d’El Niño et en tant que tel pas aussi chaud que 2016 avec son monstre El Niño; mais c’était néanmoins la deuxième année la plus chaude jamais enregistrée, et probablement la deuxième plus chaude de l’histoire de la civilisation humaine.
À mesure que le réchauffement climatique se poursuit, le volume de rapports et d’études évalués par des pairs publiés par des climatologues documente également son accélération. Voici quelques-uns des articles de recherche sur le changement climatique les plus influents publiés dans le calendrier 2019.
Rapports du GIEC des Nations Unies
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations Unies a publié deux rapports spéciaux en 2019, l’un documentant les impacts du changement climatique sur la terre et la sécurité alimentaire, l’autre sur les océans et la glace Les deux rapports ont averti que les risques d’impacts graves du changement climatique augmenteront à mesure que les températures mondiales se réchaufferont au-delà les objectifs de 1,5 et 2 degrés Celsius (2,7 et 3,6 degrés Fahrenheit) fixés dans l’accord de Paris sur le climat de 2015. La sécurité alimentaire sera de plus en plus menacée, tout comme les espèces et les écosystèmes marins importants comme les récifs coralliens. La fonte des calottes glaciaires continuera d’accélérer l’élévation du niveau de la mer et le pergélisol, gelé une fois mais plus de façon permanente, libérera des quantités croissantes de carbone précédemment piégé dans l’atmosphère lors de sa fonte. Ce ne sont là que quelques-unes des menaces croissantes de changement climatique documentées dans les rapports spéciaux du GIEC, qui ont été largement qualifiées de sombres. »
Un rapport produit par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) en novembre 2019 a également documenté que les efforts prévus par les pays pour l’extraction de combustibles fossiles dépasseront de loin les objectifs climatiques de Paris. Alors que la production mondiale de combustibles fossiles et les émissions de carbone associées doivent culminer et commencer à baisser d’ici quelques années pour atteindre ces objectifs, les pays prévoient plutôt de continuer à augmenter l’extraction de combustibles fossiles jusqu’en 2040, ce qui serait cohérent avec une trajectoire de plus de 3 degrés. C (5,4 degrés F) plus chaud que les températures préindustrielles à la fin du siècle. Ce rapport a mis en évidence un décalage important entre les objectifs des pays visant à freiner le réchauffement climatique et leurs plans de continuer à extraire toujours plus de combustibles fossiles.
Les scientifiques sont de plus en plus préoccupés et parlent ouvertement de cette déconnexion. En novembre, plus de 11 000 scientifiques ont signé une lettre publiée dans la revue BioScience déclarant clairement et sans équivoque que la planète Terre fait face à une urgence climatique. »
Selon Altmetric, qui suit les recherches scientifiques qui captent le plus l’intérêt du public chaque année, le rapport du PNUE était le quatrième article scientifique le plus influent publié en 2019, avec une couverture dans 527 organes de presse et 8290 tweets.
Études sur le climat de «l’ère commune»
Les meilleures reconstructions des températures mondiales des climatologues couvrent les 2 000 dernières années, une période également connue sous le nom d’ère commune. » Plusieurs études sur les détails des changements de température au cours de l’ère commune ont été publiées en 2019.
En juillet, la revue Nature a publié une étude qui recherchait des événements climatiques naturels importants au cours de cette période, tels que la période chaude médiévale (environ 950 à 1250) et le petit âge glaciaire (environ 1300 à 1850). Les auteurs ont rapporté qu’ils ne trouvaient aucune preuve de périodes froides et chaudes préindustrielles globalement cohérentes… la période la plus chaude des deux derniers millénaires s’est produite au cours du XXe siècle pour plus de 98% du globe. Cela fournit des preuves solides que le réchauffement climatique anthropique est non seulement sans précédent en termes de températures absolues, mais également sans précédent dans la cohérence spatiale dans le contexte des 2000 dernières années. »
Selon Altmetric, ce rapport Nature était le 28ème article scientifique le plus influent de 2019, avec une couverture dans 264 organes de presse et 1 930 tweets.
Le consortium Past Global Changes de plus de 5 000 scientifiques de quelque 125 pays a publié sa nouvelle reconstruction des températures mondiales au cours de l’ère commune dans les géosciences de la nature en juillet. Ce groupe a également conclu que les plus grandes tendances au réchauffement à des échelles de temps de 20 ans et plus se produisent au cours de la seconde moitié du XXe siècle, soulignant le caractère inhabituel du réchauffement au cours des dernières décennies. »
Une étude publiée dans Quaternary Science Reviews en mars 2019 a cherché à déterminer si l’arrivée des Européens dans les Amériques en 1492 et les massacres à grande échelle qui ont suivi de populations indigènes (environ 56 millions de morts en 1600, réduisant la population indigène de 90%) avaient une influence détectable sur le climat mondial. Les forêts ont repoussé sur des terres précédemment altérées par l’homme, ce qui, selon les auteurs, a conduit à une absorption supplémentaire de 5 ppm de CO2 dans la surface terrestre dans les années 1500 par rapport aux années 1400… La grande mort des peuples autochtones des Amériques a entraîné une conduite humaine impact mondial sur le système terrestre au cours des deux siècles précédant la révolution industrielle. »
Selon Altmetric, l’étude Quaternary Science Reviews était le 46e article scientifique le plus influent de 2019, avec une couverture dans 101 organes de presse et 4141 tweets.
Recherche en 2019 sur les récifs coralliens
Les récifs coralliens sont parmi les écosystèmes les plus diversifiés au monde et une source critique de nourriture et d’habitat pour environ 25% des poissons de l’océan. Ils font également partie des espèces et des écosystèmes les plus vulnérables au changement climatique et font donc l’objet de nombreuses recherches scientifiques.
Les chercheurs ont publié une étude dans Nature Climate Change explorant la résilience des coraux de la Grande Barrière de corail qui avaient survécu à une année extrêmement chaude en 2016 pour être à nouveau durement touchés par la chaleur extrême l’année suivante. Les résultats ont offert une rare source d’encouragement, constatant que les coraux qui ont survécu à 2016 sans blanchiment étaient également plus résistants au blanchiment en 2017.
Selon Altmetric, cette étude était le 14e article scientifique le plus influent de 2019, avec une couverture dans 47 organes de presse et 6228 tweets célébrant la bonne nouvelle.
Le 22e journal le plus influent, avec une couverture dans 98 médias avec 4 812 tweets, a cependant brossé un tableau plus sombre de la Grande Barrière de Corail. Publiés dans Nature en avril, les auteurs de l’étude ont constaté que le recrutement larvaire (peuplement de larves de poissons et de coraux nécessaires à un écosystème sain) a diminué de 89% en 2018 après ces deux années extrêmement chaudes. Cette étude a reçu un regain d’attention des médias en novembre, lors d’une étude de Nature Communications, les scientifiques ont utilisé des haut-parleurs sous-marins pour reproduire les sons des récifs coralliens sains. Ils ont constaté que deux fois plus de poissons arrivaient et restaient que dans les zones où aucun son n’était émis. Cette découverte donne un certain espoir que la récupération de l’écosystème des récifs coralliens pourrait être accélérée – si les récifs ne sont pas continuellement battus année après année par une chaleur extrême.
Principales conclusions de l’année sur la flore et la faune
Les espèces terrestres ont également fait l’objet de plusieurs articles influents publiés en 2019. L’un publié dans Science en juillet a estimé le nombre d’arbres qui pourraient être plantés et la quantité de carbone qu’ils pourraient extraire de l’atmosphère. Les écosystèmes pourraient abriter 0,9 milliard d’hectares supplémentaires de forêt continue. Cela représenterait une augmentation de plus de 25% de la superficie boisée, y compris plus de 200 gigatonnes de carbone supplémentaire à maturité. » Ces chiffres représenteraient une suppression d’environ un tiers des émissions cumulées de carbone humain dans le temps actuel, et une valeur de 20 ans au rythme actuel d’environ 10 milliards de tonnes de carbone par an. Cependant, certains groupes scientifiques ont contesté l’exactitude de ces estimations, qui reposent également sur le boisement de chaque hectare de terrain disponible. Néanmoins, l’étude était le 9e plus influent d’Altmetric en 2019, avec une couverture dans 330 médias et 6518 tweets.
Deux études de 2019 constatant des taux alarmants d’extinction d’espèces étaient également élevées sur la liste d’Altmetric. Un article publié dans Biological Conservation en avril a révélé des taux de déclin spectaculaires qui pourraient conduire à l’extinction de 40% des espèces d’insectes dans le monde au cours des prochaines décennies »en raison de divers facteurs humains, notamment le changement climatique, qui est particulièrement important dans les régions tropicales. .  » Cette étude était la 13e plus influente de l’année d’Altmetric, avec une couverture dans 251 médias et 4 679 tweets.
Dans la deuxième étude, publiée dans Science en octobre, les chercheurs ont enquêté sur les espèces d’oiseaux et ont trouvé une perte nette approchant trois milliards d’oiseaux, soit 29% de l’abondance de 1970 « en raison de la perte d’habitat, de l’intensification agricole, des perturbations côtières et de la mortalité anthropique directe, tous exacerbés par le changement climatique.  » Cette étude était le 34e journal le plus influent d’Altmetric, avec une couverture dans 259 médias et 1 465 tweets.
Ces études sont cohérentes avec la triste notion que la Terre est actuellement sur la voie de son sixième événement d’extinction de masse. (Un article à venir sur ce site examinera en profondeur les principaux rapports de recherche de 2019 sur la faune et les changements climatiques.)
Principaux résultats de l’année dernière sur la fonte des glaces
Plusieurs articles très médiatisés en 2019 ont également abordé l’accélération de la fonte des glaces et ses implications. L’un, publié dans Science Advances en juin, a révélé que depuis 2001, les glaciers de l’Himalaya perdaient de la glace à un rythme deux fois plus rapide qu’au cours des 25 années précédentes. Ces glaciers fournissent une importante source d’eau à des milliards de personnes en Chine, en Inde, au Pakistan et dans plusieurs autres pays de la région. Le journal était le 65e plus influent d’Altmetric, avec une couverture dans 294 médias et 414 tweets.
Une étude publiée en janvier dans les Actes de la National Academy of Sciences a révélé qu’au cours de la dernière décennie, l’Antarctique a perdu de la glace à un rythme six fois plus rapide qu’au cours des années 1980. Et un autre article publié dans PNAS en juin, interrogeant des experts sur les projections futures d’élévation du niveau de la mer, a révélé qu’en raison de l’accélération du déclin de la calotte glaciaire, une élévation de plus de deux mètres (environ six pieds) d’ici 2100 reste dans les limites du possible. Ce sont les 86e et 70e articles les plus influents de 2019, respectivement.
Dans l’ensemble, la deuxième année la plus chaude a été, malheureusement mais sans surprise, pleine de mauvaises nouvelles dans la recherche en science du climat. Les découvertes et les rapports des climatologues sonnent de plus en plus l’alarme d’une urgence climatique ou d’une crise climatique – termes que de nombreux médias ont commencé à utiliser régulièrement en 2019 sans ressentir le besoin de qualifier ou d’utiliser des citations. En raison des climatologues de plus en plus préoccupés par les résultats de la recherche et le langage, la crise climatique est de plus en plus acceptée et utilisée comme norme.

Choisir les bons chiens de traineaux

L’utilisation de chiots pour tirer des traîneaux plus que les chutes de neige et les glaçons a commencé en Alaska et en Sibérie, où la saison hivernale durera la majeure partie de l’année civile. Des races spéciales de chiots ont été élevées et formées uniquement dans ce but précis. Le Malamute d’Alaska, à l’origine élevé à partir des individus indigènes Mahlemiut du cours supérieur de la rivière Anvik, est grand et capable de tirer un poids plus lourd que de longues distances. Le Husky de Sibérie, originaire du peuple Chuckchi du nord-est de la Sibérie, est généralement de plus petite taille et plus rapide que les Malamutes. Les habitants de la Sibérie les utilisaient pour un certain nombre d’emplois, notamment l’élevage de rennes et le remorquage de lots sur des traîneaux. Le traîneau canin nécessite trois choses importantes : des chiens correctement fournis, des chiots bien qualifiés et un excellent équipement. Traîneau à chiens acquis en reconnaissance lors de la ruée vers l’or en Alaska de 1896, qui a amené des prospecteurs en Alaska. Ils avaient besoin d’un moyen de transport pour se rendre dans les forêts et le seul moyen d’y arriver était le traîneau à chiens. Au début des années 1900, le traîneau à chiens, connu sous le nom de mushing, est devenu une méthode typique de vacances pendant la saison hivernale dans de nombreuses étendues du nord des États-Unis et du Canada et s’est également développé comme une forme de loisirs. Mushing vient du mot français « marcher », qui signifie simplement marcher. Les prospecteurs et « voyageurs » français qui ont exploré et chassé à travers les États-Unis du milieu à la fin des années 1800 ont probablement lancé le mot. Contrairement à l’idée populaire, le terme « mush » n’est pas vraiment utilisé comme un contrôle pour les chiens, car le son est tout simplement trop doux. En règle générale, les mushers contrôlent l’équipe pour manœuvrer en utilisant le mot « randonnée ». activité sportive officielle en 1908 avec le premier « All-Alaska Sweepstakes Competition ». livraison du courrier dans les années 1920, de nombreuses personnes dans le nord continuaient à profiter du traîneau à chiens pour les loisirs. En 1925, les chiots de traîneau ont prouvé leur valeur comme moyen de transport lorsqu’une épidémie de diphtérie a mis en danger la population de Nome, en Alaska. Les 40 degrés en dessous absolument aucune condition météorologique n’a créé une atmosphère de vol impossible.À l’intérieur d’un travail de groupe héroïque, connu sous le nom de « Excellente course de la miséricorde à Nome », 20 mushers et plus de 100 chiens ont couru un relais exténuant de N enana à Nome pour livrer un paquet de 20 livres de sérum antitoxine. Les équipes ont protégé quelque 674 milles en moins de cinq jours et demi. La course canine de traîneau Iditarod, encore pratiquée de nos jours, commémore ce sauvetage historique. Depuis le milieu des années 1900, chiens de traineaux Grenoble Isere les chiens de traîneau ont été utilisés par les explorateurs aux pôles Nord et Sud. Les mushers et les éleveurs canins du New Hampshire ont joué un rôle important dans ces premières explorations. L’amiral Byrd a employé Arthur Walden de Tamworth, NH, pour devenir automobiliste-guide et instructeur de chiens pour son expédition en Antarctique de 1929. Walden a établi une toute nouvelle race en traversant Groenland Husky, Mastiff, Saint-Bernard, Berger allemand et Berger belge. De nos jours, la race de chien porte le nom de son chien-guide Chinook et ils sont généralement toujours populaires auprès des mushers. La conception d’un traîneau à chiens n’a pas beaucoup changé au fil des ans. Généralement, ils sont fabriqués à partir de bandes de bois attachées ensemble. Aujourd’hui, des traîneaux de course beaucoup plus contemporains sont fabriqués à partir d’aluminium léger et de métaux précieux de haute technologie. Il existe 2 types de base de traîneaux à chiens-traîneaux paniers et de traîneaux à luge. Les traîneaux à panier (parfois appelés traîneaux à montants) ont un siège, appelé panier, qui est soutenu par des montants verticaux et placé à 8″ à 12″ des joggeurs. Cette hauteur vous aide à garder l’équipement ou peut-être un passager au sec. Les traîneaux à panier sont rapides sur les glaçons éblouissants et les sentiers de colis difficiles et dans les problèmes de vent fort. Le frêne blanc est le bois de prédilection car il est léger et durable.

Se voir libre

La principale contrainte à l’indépendance individuelle dans la Grèce antique et à Rome était ce qu’Épictète a réalisé de première main, l’exercice interpersonnel et l’indignité de l’esclavage. C’était l’esclavage, la condition de devenir pratiquement possédé et fait pour fournir à la demande d’un autre qui a fourni à l’indépendance historique sa valeur intensément bonne et sa charge émotionnelle. Les mouvements corporels des esclaves tout au long de leur mode de vie éveillé étaient totalement limités par les désirs de leurs maîtres et également par les caractéristiques subalternes qu’ils devaient exécuter. Mais les esclaves, comme tout le monde, avaient des esprits, et les pensées en plus des corps sont susceptibles d’indépendance et de contrainte. Vous pourriez être extérieurement totalement libre et intérieurement un serviteur, géré par des maîtres psychologiques sous la forme de souhaits, d’intérêts et de désirs paralysants. Alternativement, vous pourriez être obstrué de l’extérieur ou même dans un esclavage littéral mais à l’intérieur libre de frustration et de disharmonie, si libre en fait que vous vous êtes découvert responsable de votre propre bien-être, manquant de petits ou rien que vous ne pourriez pas vous offrir. La seconde, en substance, est certainement l’indépendance dont Epictète, l’ancien philosophe stoïcien, a fait le concept central de son enseignement. La philosophie stoïcienne est née en Grèce à la fin du IVe siècle av. Ses pères fondateurs étaient des immigrants de la Méditerranée orientale à Athènes, qui n’était plus une démocratie dynamique, comme la ville l’a été à l’époque de Socrate, mais un État client du royaume de Macédoine. La perte de l’autonomie gouvernementale s’est manifestée en philosophie à Athènes par un repli sur soi au centre des valeurs. Ni le stoïcisme ni l’épicurisme, une autre grande école hellénistique, fortement impliquée dans la théorie gouvernementale, comme leurs prédécesseurs Platon et Aristote l’ont fait. L’intérêt sociétal principal des jeunes philosophes n’était pas la politique et les lois nationales, mais le bien-être personnel et l’amélioration personnelle. Cette transformation vers l’intérieur est illustrée de manière frappante par le fait que les stoïciens croyaient depuis le début que l’indépendance et l’esclavage étaient principalement des dénominateurs éthiques et psychologiques plutôt que des marques de statut social. Basé sur Zeno, le premier chef de l’école stoïcienne, l’indépendance est l’apanage unique de ceux qui sont intelligents, tandis que les personnes inférieures, qui constituent la majorité des gens, ne sont pas seulement des imbéciles mais aussi des esclaves. Une première réponse à cette affirmation pourrait inclure un choc devant son élitisme intellectuel et son insensibilité à la situation critique des personnes suffisamment malheureuses pour être littéralement réduites en esclavage. Mais considérons maintenant à quel point la revendication de Zeno, dans un climat économique esclavagiste, remet en question l’évaluation des personnes en termes de dichotomie traditionnelle servitude/liberté. Si la sagesse est le vrai critère de la liberté, le fardeau principal de l’esclavage se déplace de l’extérieur vers l’intérieur, du physique réel au psychologique, et l’approche et non l’affranchissement devient la source de la liberté. Vous êtes asservi, sur la base de cette doctrine intransigeante, si vous configurez votre système cardiovasculaire sur tout ce qui est sujet à des entraves, que ce soit parce que tout votre corps vous permet de tomber, ou parce que les passions et les sentiments vous ont sous leur emprise, ou vous attachez votre propre devenir à des choses qui reposent sur les autres – les gens, la propriété, la reconnaissance ou simplement la chance. Comment être sûr que ce genre de choix est bon pour nous et bon pour ceux dont nous partageons les affaires ? Pourquoi être autonome plutôt que de s’en tenir aux 10 commandements ainsi qu’à d’autres groupes de concepts consacrés par le temps ? Comment pouvons-nous savoir ce qu’il faut sélectionner ? La réponse à ces questions nous permet de revenir à la « sagesse » de Zénon car l’essence de l’indépendance. Son terme grec ancien sophia, dans l’usage courant, peut inclure tout type de connaissances, allant de l’artisanat sensible comme la menuiserie à des informations abstraites telles que la géométrie. Dans tous les cas, sophia signifie l’exercice réussi d’une compétence, ainsi que la capacité qui concernait Zeno et les philosophes stoïciens ultérieurs est l’art du mode de vie. Nous sommes en mesure de décrire cet art comme de comprendre comment vivre en harmonie, en équilibre avec notre mère nature et en équilibre avec cette atmosphère sociale et physique. Atteindre ou essayer d’accomplir cette compréhension est le travail de la cause, et la raison, basée sur le stoïcisme, est ce qui distingue les êtres humains des animaux.

La fin du communisme

La nomination par le président russe Vladimir Poutine d’Alexandre Medvedev pour lui succéder dans ce qui est censé être une élection présidentielle démocratique en mars prochain montre que les dirigeants russes n’ont pas changé un peu. Il semble de plus en plus probable que, comme sous Leonid Brejnev, nous verrons les mêmes noms dans les nouvelles pour les décennies à venir.
Selon Gleb Pavlovsky, le principal idéologue du régime Poutine, le système russe actuel est parfait à tous égards sauf un: il ne connaît pas ses ennemis. En effet, il semble que tout le monde au Kremlin lit Carl Schmitt, le théoricien juridique nazi qui a enseigné que nommer son ennemi est la mission centrale de la politique.
Dans l’esprit de Schmitt, les hommes de Poutine ont désigné un parti libéral, l’Union des forces de droite, comme leur ennemi. Ses réunions publiques ont été interrompues par des policiers armés; ses dirigeants arrêtés et battus; Poutine a appelé ses partisans des coyotes. »

Le business est dopé par les réseaux sociaux

Depuis le moment où Instagram a permis aux fabricants de contribuer pour la première fois à créer des publications pouvant être achetées, les acheteurs ont demandé la même chose aux influenceurs – desquels, après tout, la plupart des consommateurs d’Instagram reçoivent leurs conseils sur les articles. Désormais, ils auront enfin la possibilité d’acheter tout ce que leurs créateurs préférés recommandent directement via leur flux. Instagram réduira au minimum chaque achat créé via son système, générant très probablement des centaines de milliers de nouveaux revenus. À partir de la semaine prochaine, seo les influenceurs pourront marquer des produits spécifiques à l’intérieur de leurs photographies. Les consommateurs peuvent cliquer sur une photo, voir précisément ce qui est disponible à la vente et obtenir la marchandise sans quitter à tout moment Instagram. Un nombre incroyable de consommateurs dépendent des influenceurs pour passer au crible les articles et faire des recommandations. Mais jusqu’à présent, il était difficile de déterminer, par exemple, quel ton de rouge à lèvres un influenceur mettait exactement. Des applications telles que LikeToKnowIt, qui vous permet d’accéder aux publications des influenceurs en prenant des captures d’écran, ont attiré des millions de clients grâce à une solution provisoire. Les systèmes d’achats sociaux propres à l’entreprise, y compris Itsapark de HAndM, ont également fait leur entrée sur le marché. De plus, plusieurs consommateurs potentiels passent plusieurs heures à laisser des commentaires sur le contenu Instagram des influenceurs à la recherche de plus d’informations sur les produits, ou à entreprendre en vain d’identifier une marchandise sur Internet. Ce système est introduit avec seulement 23 marques et 55 influenceurs, tels que Parker Package Hill, Gigi Hadid et Huda Kattan. Les nouvelles statistiques grand public, les concepteurs, les joueurs, les éditeurs Web et les concepteurs vont s’ajouter dans les mois à venir. Beaucoup plus d’associés de marque seront également intégrés. Pour le moment, de nombreux influenceurs travaillant dans le plan ont jailli du temps qu’ils vous aident ainsi que leurs partisans à économiser. «C’est mon travail de parler de techniques de beauté et de suggestions. J’écris généralement de longues et complètes légendes concernant les produits les plus récents que j’utilise », a déclaré Jaleesa Moses, une influenceuse travaillant dans le premier, par e-mail. « Avoir cet instrument rend encore plus facile de permettre à tout le monde de comprendre ce que je mets et où à l’ombre. » Les influenceurs n’obtiendront pas une part des ventes produites par leur contenu. Ils auront néanmoins probablement accès à un tableau de bord d’analyse discuté avec des mesures robustes que le nom de marque marqué pourrait également voir. Auparavant, les influenceurs utilisaient des captures d’écran ainsi que d’autres méthodes imparfaites pour relier les chiffres de proposition aux fabricants, il était donc extrêmement difficile de lier leur impact directement aux ventes. L’utilisation d’une structure plus efficace et d’un suivi approfondi des statistiques sera extrêmement bénéfique pour les influenceurs. «Cela vous permet de mieux utiliser lorsque vous négociez les prix», déclare Aimee Tune, une influenceuse de tendance. «En tant qu’influenceur, je ne traite pas si je ne vous fais pas réduire [des revenus] pour le moment», poursuit Song. « Si cela peut simplifier la vie de mes abonnés et qu’ils n’ont jamais besoin de me renseigner en me demandant« Où vous procurez-vous cette marchandise? », Je suis prêt à le faire gratuitement pour le moment. » De nombreux influenceurs peuvent également parier sur l’amélioration de l’engagement et l’augmentation du nombre de supporters qu’ils obtiendront probablement en incluant du contenu achetable sera bien plus que récompensé à court terme. La fonction la plus récente est conforme à la poursuite plus large d’Instagram pour transformer le programme en une centrale de commerce électronique. L’entreprise a créé un changement radical dans les achats cette année, et les professionnels des institutions de la Deutsche Banking calculent qu’il pourrait bientôt s’agir d’une entreprise de 10 milliards de dollars. La création d’un nouveau flux de revenus massif peut aider l’organisation à se protéger contre sa dépendance actuelle à la publicité, qui comprend des agressions de nos jours en raison de violations d’informations et de scandales de confidentialité. Certains spécialistes du marketing ont abandonné Fb, invoquant la «conception commerciale méprisable de l’entreprise». Instagram est déjà l’endroit où les gens choisissent l’inspiration de style de vie, les idées de mode, les idées de décoration intérieure et bien plus encore. Maintenant, c’est aussi un endroit où vous pourriez consacrer d’énormes quantités d’argent.

Les avions et l’héritage culturel

Les commémorations du centenaire de la Noble Atmosphere Pressure ont volé l’arène du modèle de l’année lors de la plus grande réunion aéronautique au monde. Les avions pilotés par l’atmosphère britannique push ont fait un cadeau dans le ciel d’Oshkosh, aux États-Unis, lors de l’EAA Atmosphere Venture 2018, un événement qui acquiert chaque année de nouveaux adeptes, y compris d’innombrables personnes qui viennent avec leur propre avion, du monde entier. . Nous soulignons le tout premier nouvel avion national d’Airbus, l’A200, à l’intérieur du territoire de Boeing. La légende majeure de la commémoration au Royaume-Uni était le Gloster Meteor T7. Le spécimen est le plus ancien avion de service militaire du monde en conditions de vol. Le voyage aérien Meteor à côté des T-33, A-4, F-86, MiG-17 et L-39 a fourni un éclat supplémentaire aux démonstrations des warbirds. Lundi (23), l’EAA a bien préparé un plan spécial, le cinéma au sein du Timber, qui a consacré un large codage pour le centenaire de la RAF. Ford, qui prépare traditionnellement une Mustang GT en reconnaissance de l’avion américain, a personnalisé en partenariat avec RTR Cars le produit 2018 inspiré au sein de l’Eagle Squadron qui exploite le Spitfire. Connu sous le nom d’Eagle Squadron Mustang GT, le modèle dispose d’un générateur V8 de 5 litres de 700 CV, connecté au compresseur Ford Performance globale très. Toujours dans les commémorations, a brillé à Oskosh une reproduction de niveau authentique dans le biplan du Royaume-Uni Sopwith 1½ Strutter. Avant d’être inclus dans la boîte à outils de la RAF, en 1918, le modèle est devenu important en s’envolant pour ce Royal Naval Air Support comme un avion d’artillerie, d’observation et de reconnaissance photographique. Le faux a été créé conformément aux dessins originaux et n’a reçu qu’un nouveau moteur rotatif Gnome Monosoupape de 100 CV, qui, bien qu’il soit produit avec la dernière technologie de création, conserve des caractéristiques relativement proches de celles utilisées dans le premier générateur. Chaque année, les organisateurs d’EAA Atmosphere Venture choisissent un concept différent pour honorer l’aviation. En 2018, baptême en avion Saumur ils sont sortis de l’endroit typique en commémorant les principaux avions et appareils de ravitaillement des forces armées américaines. Au cours de la soi-disant «Année du pétrolier», le raisonnable livré collectivement dans les avions à rampe principale comme le KC-135R, le HC-130P / N, le F / A-18F Super Hornet et le KC-10, destiné pour le ravitaillement en vol; oui, certains Very Hornet de l’US Navy possèdent la capacité de ravitailler en vol des avions, afin d’augmenter la force des avions embarqués. À l’intérieur du segment militaire, il existait également d’innombrables classiques intemporels. La liste est longue … le C-5M, le C-17, le B-1B, le A-10, le F-15C, le F-16C, le F-22, le F-35, le AH-64, le HH-60G, le MH60T, le MH-65D ainsi que le MH-47. Comme toujours, la majorité des avions ont été introduits dans les vols aériens, offrant une occasion unique de voir le meilleur équipement militaire de nos jours dans l’atmosphère naturelle. Un autre warbird qui a donné la cote de crédit pour l’événement était le F-5, le premier produit supersonique considéré comme warbird à Oshkosh. Pour 2019, le style clé sera les 75 ans de l’Overlord, qui ont commencé avec le populaire «jour J». Pour offrir un concept de ce à quoi les invités s’attendront en 2019, au moins 12 avions DC-3 / C-47 ont été fournis cette année. Tout au long de l’Atmosphere Enterprise, il y a un certain nombre de réunions avec les pilotes et les propriétaires d’aéronefs DC-3 qui ont intérêt à participer aux commémorations de l’heure du jour J. L’idée est de créer une traversée au sein de l’Atlantique dans l’œuvre de Daks plus que de la Normandie. «L’Air Enterprise est une sorte de 2e étape de notre tournée à travers les États-Unis pour créer des choses à définir», affirme Eric Zipkin, principal initial de l’escadron du jour J, qui organise la célébration commémorative.

Attirer les étudiants vers l’économie

Le domaine dans lequel un étudiant universitaire se spécialise peut affecter les résultats sur le marché du travail. Mais nous savons peu de choses sur la façon dont l’exposition affecte le choix de la majeure par un étudiant. Cette colonne montre que l’exposition à l’économie augmente la probabilité de se spécialiser en économie de 2,6 points de pourcentage. Ce résultat est dû aux choix des étudiants masculins. L’exposition au domaine n’explique donc pas pourquoi relativement peu de femmes se spécialisent en économie.
Les résultats sur le marché du travail varient considérablement selon la spécialisation universitaire (voir, par exemple, Kirkebøen et al. 2015). En effet, les différences de salaire entre certaines majeures sont aussi importantes que l’écart salarial entre les diplômés de l’université et ceux du secondaire (Altonji et al. 2012). De telles considérations économiques influencent les choix de majeure des étudiants. En même temps, nous savons que les goûts et les aptitudes des étudiants influencent également leurs décisions (voir Altonji 1993, Stinebrickner et Stinebrickner 2014, Zafar 2011, 2013). Les aptitudes et les goûts déterminent dans quelle mesure les étudiants apprécient leurs cours, le temps et les efforts qu’ils investissent dans l’obtention de leur diplôme, et dans quelle mesure ils s’attendent à apprécier un emploi lié à leur spécialité.
Cependant, lorsque les étudiants commencent l’université, ils ont des connaissances imparfaites, tant sur le contenu des diverses majeures que sur leurs propres goûts et aptitudes. La question qui nous intéresse est de savoir quel rôle joue l’exposition dans la résolution de cette incertitude. Le problème est important au-delà du seul domaine de l’économie. Si l’exposition a de la valeur, alors les systèmes éducatifs dans lesquels les étudiants se spécialisent tard dans leur parcours scolaire pourraient mieux faire correspondre les étudiants aux domaines d’études (Malamud 2010, 2011).
Jusqu’à présent, nous savons peu de choses sur la façon dont l’exposition affecte le choix de la majeure d’un étudiant. L’une des principales raisons est que les étudiants s’auto-sélectionnent dans les cours, et qu’ils choisissent généralement les cours qu’ils pensent être intéressants. Par conséquent, l’utilisation de la sélection des cours pour estimer comment l’exposition influence le choix de la majeure pourrait confondre l’effet des préférences avec l’effet réel de l’exposition.
Une expérience naturelle
Pour identifier l’effet de l’exposition sur le choix de la majeure, nous nous appuyons sur une expérience naturelle à l’université de Saint-Gall, qui propose des études dans les domaines du commerce, de l’économie, du droit, du droit et de l’économie, et des affaires internationales. Les cours dispensés aux étudiants de première année sont presque identiques, quelle que soit la filière choisie par l’étudiant. Cependant, en plus des cours, le programme de première année comprend un important travail de première année, dont le but est de familiariser les étudiants avec la rédaction universitaire. Chaque étudiant doit rédiger un devoir dans l’un des trois domaines de base : commerce, économie ou droit. Le devoir porte sur un sujet dans un domaine fixé par un assistant d’enseignement. Voici un exemple typique de sujet en économie : Comment la crise financière a-t-elle alimenté le prix de l’or ? ».
Les étudiants peuvent indiquer leurs préférences pour les domaines, mais comme le domaine des affaires est sursouscrit, les étudiants ne se voient pas nécessairement attribuer leur choix préféré. Parmi les étudiants souhaitant écrire en commerce, l’université attribue le domaine de l’épreuve de première année d’une manière quasi-aléatoire qui n’est pas liée aux caractéristiques des étudiants. Cela nous permet d’identifier l’effet de l’exposition à l’économie et au droit sur les choix de majeure ultérieurs et sur d’autres résultats des étudiants.
Résultats
Nous constatons que le fait d’être assigné à la rédaction d’un article en économie augmente la probabilité de se spécialiser en économie de 2,7 points de pourcentage, par rapport aux étudiants qui ont été assignés à leur domaine de prédilection, le commerce. Cela correspond à 17,6 % de la part des étudiants qui se spécialisent en économie à l’Université de Saint-Gall. Le fait d’être assigné à l’écriture en droit augmente la probabilité d’étudier le droit de 1,6 point de pourcentage. En outre, nous constatons que le fait d’être affecté à l’économie influence positivement les notes dans les cours d’introduction à l’économie.
Une constatation surprenante est que ces résultats sont assez spécifiques au sexe. L’exposition à l’économie n’affecte que les choix de majeure des étudiants masculins, tandis que l’exposition au droit n’affecte que les choix des étudiantes. Ainsi, l’exposition au domaine ne contribue apparemment pas à expliquer pourquoi relativement peu de femmes se spécialisent en économie.
Conclusion
Il est difficile de juger dans quelle mesure ces résultats pourraient être généralisés à d’autres contextes. D’une part, le passage à l’économie peut ne pas être un trop grand effort pour les étudiants initialement enclins au commerce. Un étudiant ayant l’intention de se spécialiser en anglais, en revanche, pourrait être moins affecté par la rédaction d’un article, même long, en économie. D’autre part, la plupart des étudiants sont exposés à de nouveaux domaines par le biais de cours, ce qui peut représenter une forme d’exposition plus intensive que même un long article de recherche. Si c’est le cas, l’exposition via les travaux de cours peut avoir des effets plus importants que l’exposition que nous analysons ici.

Une exigence de 25 % de fonds propres pour les banques ?

Il est largement admis que la protection des banques par les pouvoirs publics a contribué à la crise financière, ce qui a conduit à des propositions visant à exiger des banques qu’elles financent une part plus importante de leurs portefeuilles par des fonds propres plutôt que par des dettes – obligeant ainsi les actionnaires à absorber les pertes au lieu des contribuables. Cette colonne fait valoir que ce sont les ratios de fonds propres par rapport au risque des actifs qui importent, et non les ratios de fonds propres en soi. Bien que des exigences plus élevées en matière de fonds propres pour les banques puissent être souhaitables, les coûts de la réduction de l’offre de prêts devraient être pris en compte.
Le professeur Allan Meltzer a dit en plaisantant que le capitalisme sans échec est comme une religion sans péché ». Si certaines entreprises sont protégées de la faillite lorsqu’elles ne peuvent pas payer leurs factures, la concurrence est faussée et favorise les entreprises inefficaces et protégées. Les banques dont les dettes sont garanties par l’État bénéficient d’un avantage injuste qui leur permet de répartir les fonds de manière inefficace, de prendre des risques inconsidérés aux dépens des contribuables et de gaspiller des ressources qui seraient mieux utilisées par des entreprises ne bénéficiant pas d’une telle protection.
La crise financière de 2007-2009 n’est pas la première à illustrer le fait que les systèmes bancaires protégés ont tendance à exploser, imposant des pertes énormes aux contribuables qui doivent payer la facture. Rien qu’au cours des trois dernières décennies, plus d’une centaine de crises bancaires majeures ont eu lieu dans le monde (Laeven et Valencia, 2012). Aucun sujet d’économie financière n’a fait l’objet d’un consensus plus clair parmi les chercheurs que la proposition selon laquelle la protection des banques par les pouvoirs publics a contribué à la récente vague de faillites bancaires coûteuses dans le monde – des faillites d’une ampleur sans précédent.
Le récent ouvrage d’Anat Admati et Martin Hellwig, The Bankers’ New Clothes (Princeton 2013), propose de forcer les banques à maintenir une part beaucoup plus importante de leur financement sous forme de capitaux propres plutôt que de dettes, de sorte que les actionnaires des banques plutôt que les contribuables supportent la majeure partie ou la totalité du risque de baisse des pertes bancaires. Dans leur zèle bien intentionné pour démontrer à quel point il serait bénéfique, simple et sans coût d’imposer une augmentation spectaculaire des ratios de fonds propres des banques, Admati et Hellwig surestiment les avantages et sous-estiment les coûts associés à la réforme proposée.
Ratios de fonds propres comptables contre les véritables ratios de fonds propres pondérés en fonction des risques
Admati et Hellwig affirment que pour obtenir une augmentation crédible de la proportion de fonds propres des banques, il suffit d’augmenter les exigences réglementaires minimales pour le ratio de la valeur comptable des fonds propres par rapport aux actifs. Si seulement c’était aussi simple, mais ce n’est pas le cas ; l’augmentation du ratio de la valeur comptable des capitaux propres au sens comptable n’augmente pas nécessairement les véritables ratios de capital des banques, comme je l’ai soutenu dans mon travail récent (Calomiris 2013). Les bilans bancaires ne rendent pas compte d’une grande partie des pertes économiques que les banques peuvent subir. En outre, les pratiques comptables peuvent dissimuler l’ampleur des pertes sur prêts, et les régulateurs désireux d’éviter les crises de crédit sont souvent complices de cette situation. Il en résulte que les véritables ratios de fonds propres des banques peuvent être bien inférieurs à ce que leur valeur comptable indique. En outre, les choix des banques en matière de risque importent, et pas seulement leurs fonds propres. L’approche de Bâle sur la pondération des risques des actifs et l’approche plus simple préconisée par les auteurs (qui abandonnerait toute pondération des risques en faveur d’une simple exigence de fonds propres par rapport aux actifs) ont toutes deux un défaut commun : elles encouragent les banques à poursuivre des augmentations cachées du risque des actifs.
Pour toutes ces raisons, l’augmentation des ratios de fonds propres requis ne se traduit pas nécessairement par une réduction du risque de faillite bancaire. Cela ne signifie pas que les ratios de fonds propres ne sont pas pertinents, mais seulement que le fait d’exiger une augmentation des fonds propres comptables ne se traduit pas, en soi, par une augmentation des fonds propres réels. De même, et surtout, des exigences plus élevées en matière de fonds propres ne garantissent pas que les banques auront des fonds propres plus élevés par rapport à leur risque, ce qui est l’objectif essentiel de la réforme réglementaire envisagée par Admati et Hellwig.
Admati et Hellwig soutiennent également que l’augmentation du ratio de financement par capitaux propres dans la structure du passif des banques a peu ou pas de coûts sociaux. Ils rejettent la possibilité que des exigences plus élevées en matière de fonds propres pour les banques puissent être socialement coûteuses comme une bête noire… aussi insignifiante que les nouveaux vêtements de l’empereur dans le conte d’Andersen ». Les auteurs poursuivent en disant : « Pour la société, il y a en fait des avantages significatifs et essentiellement aucun coût à des exigences de fonds propres beaucoup plus élevées ». Une telle politique permettrait de résoudre le conflit fondamental entre ce qui est bon pour les banques et ce qui est bon pour l’économie au sens large. »
Coût des fonds propres par rapport aux rendements corrigés du risque
Ces déclarations ne représentent pas les résultats de décennies de recherche englobant des dizaines de contributions théoriques et empiriques dans la littérature bancaire et financière des entreprises. Le principal tour de passe-passe académique effectué par les auteurs, qui est à la base de ces déclarations, consiste à concentrer l’attention uniquement sur les rendements ajustés au risque attendus par les investisseurs lors de l’examen des coûts ajustés au risque pour les banques de leurs choix en matière de structure du capital. Admati et Hellwig assimilent à tort les deux. Le coût des fonds propres, affirment les auteurs, correspond essentiellement aux rendements que les sociétés doivent fournir aux actionnaires pour justifier l’argent qu’elles ont reçu d’eux ». Mais pour les banques qui émettent ces capitaux propres, il est presque certain qu’il y a d’autres coûts (et avantages) importants associés aux choix de structure du capital qui ne sont qu’indirectement liés aux rendements attendus et reçus par les investisseurs. C’est pourquoi le coût de l’émission d’actions pour une banque et le rendement attendu par les investisseurs en actions qui achètent la nouvelle offre ne sont généralement pas les mêmes.
Il a été démontré que les différences entre les rendements attendus par les investisseurs et les coûts de financement des entreprises impliquent qu’il existe, en général, une combinaison optimale de dettes et de capitaux propres pour chaque banque (ou toute autre entreprise), qui reflète une variété de considérations. Une catégorie de modèles se concentre sur l’effet de la déductibilité des paiements d’intérêts sur la combinaison optimale de dettes et de capitaux propres – les entreprises mettent en balance l’avantage fiscal de la dette et la valeur préservée en détenant plus de capitaux propres et en limitant ainsi le risque de détresse financière. Une autre catégorie de modèles de « signalisation » considère comment l’émission d’actions peut avoir des effets négatifs sur les perceptions du marché des opportunités d’investissement des entreprises, et conduire les émetteurs à éviter les offres d’actions plus qu’ils ne le feraient autrement. Dans une autre classe de modèles encore, le choix de la bonne combinaison de dettes et d’actions conduit à des transferts efficaces de contrôle aux créanciers dans certains états du monde, ce qui encourage également la diversification du portefeuille et la révélation véridique des résultats de l’investissement, ce qui réduit les coûts de financement. Dans une quatrième catégorie de modèles, la bonne combinaison de capitaux propres et de dettes peut inciter à une gestion plus efficace des risques, ce qui réduit également les coûts de financement. Enfin, dans le contexte bancaire, l’émission de titres de créance à court terme et à très faible risque, combinée à des fonds propres suffisants, peut procurer des avantages non pécuniaires en termes de liquidité aux détenteurs de la dette (en particulier les déposants), ce qui augmente la demande de dette et permet aux banquiers d’économiser sur les coûts de financement.
Coûts des exigences plus élevées en matière de fonds propres des banques
La discussion d’Admati et Hellwig sur les coûts de financement des banques et la structure du capital ne reconnaît que deux avantages du financement par l’emprunt : la déductibilité fiscale des intérêts et les distorsions du filet de sécurité découlant des garanties gouvernementales qui réduisent effectivement les coûts de la dette subordonnée des banques ainsi que les dépôts. Ils soutiennent que l’élimination de ces avantages du financement par l’emprunt est souhaitable. Cette affirmation néglige des preuves empiriques substantielles qui vont dans le sens d’autres influences, comme les modèles de signalisation. Mais même si le traitement fiscal privilégié de la dette et les subventions au titre du filet de sécurité étaient les seuls facteurs favorisant le financement par l’emprunt, et même si l’on pouvait affirmer, à partir d’une analyse coûts-avantages sociaux, qu’il serait souhaitable de supprimer les subventions au titre du filet de sécurité et la déductibilité fiscale des intérêts, il ne s’ensuit pas que cela ne coûte rien.
Une implication importante des différents modèles de structure optimale du capital est que le fait de forcer les banques à augmenter leur ratio de fonds propres par rapport à leurs actifs réduira généralement la volonté des banques de prêter. Un grand nombre d’études ont montré que, lorsque les banques doivent augmenter leur ratio fonds propres/actifs, elles choisissent souvent de le faire en réduisant les nouveaux prêts, ce qui évite de devoir lever de nouveaux fonds propres et les coûts élevés qui y sont associés. Par exemple, une étude récente de la réaction de l’offre de prêts aux augmentations des ratios de fonds propres requis au Royaume-Uni indique qu’une augmentation d’un point de pourcentage des ratios de fonds propres requis réduit l’offre de prêts aux entreprises non financières nationales d’environ 7 % (ce qui implique une élasticité de l’offre de prêts d’environ 0,7 négatif).
La réduction de l’offre de prêts qui résulte de l’augmentation des ratios de fonds propres n’est pas seulement un coût ponctuel. Un ratio de fonds propres plus élevé signifie qu’à mesure que le système bancaire se développe, un pourcentage plus important des fonds propres des banques devra être levé à l’extérieur plutôt que par la rétention des bénéfices. Comme il est coûteux de mobiliser des capitaux extérieurs (en grande partie à cause des coûts de signalisation et d’agence mentionnés plus haut), les banques seront confrontées à des coûts de financement plus élevés en permanence, ce qui réduira en permanence l’offre de prêts par rapport à un monde où les exigences en matière de ratio de fonds propres sont plus faibles.
Trouver la bonne exigence de fonds propres bancaires
L’existence de coûts sociaux associés à des exigences de fonds propres plus élevées n’exclut pas le caractère souhaitable d’une augmentation substantielle de ces exigences. En effet, la plupart des économistes (moi y compris) seraient prêts à accepter une certaine réduction de l’offre de crédit en échange des avantages d’une plus grande stabilité financière, en particulier compte tenu des faibles ratios de fonds propres que les banques maintiennent actuellement.
Quel est le bon ratio de fonds propres à cibler, et sur quoi repose le ratio de 25 % des fonds propres par rapport aux actifs proposé par Admati et Hellwig ? Après tout, s’ils croyaient vraiment à leur argument selon lequel l’augmentation du ratio de fonds propres ne peut jamais avoir de coût, alors pourquoi ne pas préconiser un ratio de fonds propres de 100% ?
Le principal fondement de la recommandation d’Admati et Hellwig d’un ratio de 25% est leur opinion selon laquelle l’expérience historique montre qu’avant la protection du filet de sécurité, les banques maintenaient ce niveau de ratios de fonds propres. Mais Admati et Hellwig sont trop désinvoltes lorsqu’ils font ces comparaisons historiques, et ils omettent de noter certaines différences importantes entre les banques d’alors et d’aujourd’hui. Les ratios de fonds propres des banques, tant aux États-Unis qu’à l’étranger, ont varié considérablement dans le passé et n’ont généralement pas atteint 25 % des actifs. Certains des systèmes bancaires les plus stables – celui du Canada, par exemple – ont eu des ratios de fonds propres relativement faibles. Les faibles ratios de fonds propres des banques canadiennes à succursales nationales reflétaient la plus grande diversification de leur portefeuille et d’autres caractéristiques réduisant le risque, contrairement aux banques à bureau unique (unités) beaucoup plus risquées aux États-Unis. Les ratios de fonds propres des banques américaines ont varié de façon spectaculaire au fil du temps, et d’une manière qui a clairement reflété les changements dans le risque de leurs actifs. Les ratios de fonds propres par rapport au risque des actifs sont l’attribut clé de la réglementation prudentielle, et non les ratios de fonds propres en soi. L’utilisation de simples ratios d’équité historiques d’un certain exemple passé comme référence, sans tenir compte du risque, peut considérablement surestimer ou sous-estimer la mesure dans laquelle les ratios d’équité actuels des grandes banques mondiales devraient être augmentés.

Inverness la belle

Inverness était la capitale des Pictes au-dessous de la reine Brude, qui avait été arrêtée et modifiée par Saint. Columba vers 565. Au 12ème siècle, Inverness était devenu un bourg niché sous la forteresse liée à Maître Malcolm III (Malcolm Canmore), qui a continué à être une résidence royale et un château pendant des années. L’actuelle forteresse du XIXe siècle, sur le site d’un château détruit en 1746 avec les Jacobites, surplombe le ruisseau et les résidences législatives. Les quelques bâtiments plus anciens qui subsistent comprennent la vieille croix de la ville (1685), le clocher de la zone (auparavant une prison), cette ancienne grande cathédrale (1769-1772) et Saint. Cathédrale d’Andrew (1866-1871). Inverness peut être le centre commercial, éducatif et touristique d’un grand endroit. Chaque production et chaque fournisseur se sont développés pour répondre aux besoins du marché du gaz à l’étranger. Les industries supplémentaires comprennent les espèces de manipulation du poisson, l’agriculture, la foresterie et l’ingénierie électronique. Le port aérien d’Inverness, à Dalcross, à 8 kilomètres (13 km) au nord-est, villes du monde fournit des services à domicile. Inverness est également populaire pour le combat de Culloden. Le Jacobites en retraite occupa Inverness en février 1746. Une grève de nuit tentée dans l’armée en évolution du duc de Cumberland fut infructueuse le 15 avril, et Charles Stuart choisit de fournir une bataille autour de la tourbière découverte Drumossie Moor mentionnée plus tôt Culloden House, malgré la regardez Lord George Murray qu’un terrain beaucoup moins parfait pour les Highlanders était difficile à trouver. Les Jacobites ne pouvaient rassembler que 5 000 gars. Cumberland a connu 9 000 gars, dont beaucoup d’Écossais. Contrairement à Charles, il possédait une très bonne artillerie disciplinaire efficacement offerte. Les pistolets industriels de Cumberland ont décimé les peuplements jacobites pendant 25 minutes. Charles, dans l’ordre la première fois, a fatalement ralenti une commande à coût. Lord George a libéré le Jacobite proprement dit et le cœur, mais la bravoure n’a pas pu égaler la maîtrise de soi, le risque de cartouche dans les fusils, la mousqueterie et à la fin l’excellent résultat de la baïonnette pour l’épée large. Les Macdonald autour du Jacobite restaient tout de suite à juste titre rentrés dans un excellent ordre, poursuivis par la cavalerie. Escapade a commencé à être en déroute.